Descripción: |
Abstract:
This paper presents an overview of the course
of twentieth-century Canadian universality in social, telecommunications,
broadcasting, and public library policies as a broader and more
realistic context for the development of information infrastructure
policy. Recent market-oriented policy proposals do not consider
the object lessons learned from market failures in the first
half of this century that resulted in demands for a more secure,
equitable, and inclusive society. The recent drive to deregulate
has spurred public advocates to fight for government intervention
to preserve universality in policy decisions for the Canadian
information infrastructure. This study concludes that the private
and government sectors are eroding universal access in favour
of competition. Past and present policy examples indicate that
universality will not occur without government intervention.
Résumé:
Cet article passe en revue l'universalité
canadienne au vingtième siècle en ce qui a trait aux politiques
formulé pour la société, les télécommunications, la radiodiffusion
et les bibliothèques publiques. L'article suggère que
l'universalité
offre un contexte plus large et réaliste pour le développement
de politiques portant sur l'infrastructure informationnelle.
Les politiques récentes orientées vers le marché ne tiennent
pas compte de la leçon qu'on peut tirer des faillites du
marché
dans la première moitié du vingtième siècle,
faillites qui menèrent
à des demandes pour une société plus sécuritaire,
équitable et
accommodante. Le mouvement récent de déréglementation
a motivé
des intervenants publics à prôner la participation gouvernementale
pour préserver l'universalité dans les politiques portant sur
l'infrastructure informationnelle canadienne. Cette étude conclut
que les secteurs privés et publics sont en train de porter atteinte
au principe d'accès universel, favorisant plutôt la concurrence.
Des exemples de politiques du passé et du présent indiquent que,
sans l'intervention du gouvernement, l'universalité n'aura pas
lieu. |